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mardi 3 janvier 2012

Et si j’étais un plat…



… un blanc de poulet à la crème, pour la couleur, particulièrement en été sur la plage. Un blanc devenu blanche du poulet pour avoir convolé en justes noces avec un représentant des forces de l‘ordre. Blanc de poulet ou plutôt d'oie, pour la couche douillette de protection, appelée communément graisse chez ce volatile. Pour le foie c'est à voir.
Blanc d'un poulet élevé sous la mère, tant bien que mal, et plutôt bio. Pas de conservateur inutile, pas de colorant, rien que du naturel. Et comme sur les pommes bio, ça se voit. Un peu ridée, pas vraiment bonne mine mais qui peut surprendre. Acide tout d'abord mais plus douce en bouche sur la fin.
Et de plus en plus mère-poule en vieillissant... Prudence, le blanc de la poule devient vite étouffant.

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