Johan Friedrich, Fritz comme vous aimez à vous surnommer, cessez s'il vous plait ! Vous me faîtes mal aux poignets !
Vous me serrez, vous me pressez, vous me coincez, aie ! cela suffit !
Vous persistez à vouloir m'empêcher de bidouiller,
Vous sévissez au moindre gribouillage
Et refusez tout scrivouillage.
De quel droit ?
Ces mains sont à moi, rendez-les moi !
Et ne m'obligez pas à recourir au bistouri, la séparation serait brutale !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire